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On revoit c'te phase de jeu

29 janvier 2021

1931 - Traversée de Paris à la nage

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6 septembre 2020

EDF Aqua Challenge Paris 2020

Ce week-end s'est tenue l'édition 2020 de l'EDF Aqua challenge de Paris

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Licence Creative Commons
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17 août 2020

Ligue des champions : Et si on gardait cette formule ?

UEFA_Champions_League_logo

Cette phase finale de la ligue des champions apporte à chaque rencontre de nouvelles surprises.

Des rencontres à élimination directe, sur terrain neutre, sans aller, ni retour. Quel suspens !
Et si le stade des rencontres étaient plein de supporteurs ? Quelle fête !

J’espère que l’UEFA se penchera sérieusement sur cette formule, contrainte par la crise sanitaire, mais qui pourrait engendrer "le Monde d’après" de la ligue des champions.

15 août 2020

Traversée du Lac d'Annecy

P1030331Aujourd'hui aurait du se tenir l'épreuve de la Traversée du Lac d'Annecy, ouverte aux nageurs de 9 à 99ans .

 

Pour des raisons sanitaires évidentes, la 89ème édition a été annulée.

Pour 2021 ...

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12 juin 2020

Résilience au football, une vaste utopie ? Economie quand tu nous tiens ...

Il est des situations que le confinement que nous avons subi a pu révéler.

Football_pictogram

 


En effet, les polémiques incessantes autour de l’arrêt du championnat de France de football nous a démontré que ce sport en particuliers était largement lié à une économie folle et irrationnelle sachant déchaîner les passions.

Rappelons qu’en réponse à la crise due à l’épidémie de COVID 19, le pouvoir exécutif a suspendu toute compétition sportive sur le sol français.

Prenons alors les exemples inverses du 1er ministre lors de son allocution face aux élus de l’Assemblée nationale. « Les championnats sportifs sont arrêtés, cela comprend le football, mais aussi les championnats de rugby, de basketball, de handball ... ».

 

 

En effet, en dépit des courrier de JMA à la Ministre des sports, tous les sports sont touchés, mais un seul déchaîne les passions : le football !

Les partisans d’un vœu pieu d’un Monde d’Après meilleur devraient dès aujourd’hui réfléchir à celui du football européen, très pressé de reprendre les championnats nationaux.

Des protocoles absurdes se mettent en place pour s’assurer de la bonne santé des joueurs.

Ainsi en Allemagne, les joueurs, le staff sont testés deux fois par semaine, ce qui permet de détecter une contamination à un moment T, mais à moins de confiner tous les joueurs de la Bundesliga, cela n’assure pas le risque 0 de contamination. La situation d’ailleurs risquerait de se compliquer si un joueur est positif.

Prenons donc cet exemple. Admettons que plusieurs championnats aient repris, ainsi que la ligue des champions. Un joueur allemand donc, est détecté positif au COVID 19.

Il faut donc briser la chaîne de contamination. Dans un premier temps, il faudra isoler et confiner ce joueur et sa famille qu’il faudra dépister dans les plus brefs délais.

Il faudra ensuite déterminer les cas contact, et c’est là que la situation se complique. Faut-il mettre en quatorzaine l’ensemble des joueurs de l’équipe ou l’ensemble des membres du staff ? Faut-il remonter aussi aux joueurs des équipes adverses rencontrées auparavant ? Car malgré les distanciation sur les bancs de touche, malgré le port du masque des vestiaires, au couloir jusqu’au terrain, les contacts sont francs et virils dans les surfaces de réparation. Si cette équipe dispute encore la ligue des champions, alors le problème deviendrait international.

Non décidément, les mesures barrières semblent bien aléatoires quand il s’agit de la reprise des championnats de football. Mais pourquoi ?

 La réponse est évidente. Dans le football et plus qu’ailleurs, l’intérêt économique est primordial. Mais surtout, le modèle économique est complément fou et plus que bancal. Cette crise le démontre, les sommes investies, mises en jeu par la totalité des clubs ne reposent sur rien de concret. L’ensemble des clubs est en déséquilibre et leurs revenus sont complètement virtuels.

Le football professionnel est-il générateur de richesse ? En partie oui. En effet les ventes de billets, de merchandising, les maillots de star, les équipements sont créateurs de richesse.

On peut alors considérer qu’il s’agit d’un socle stable de revenus d’un club, quel que soit son niveau. Grosse ou petite, une équipe devrait à son niveau, si la gestion est sérieuse, s’en sortir. Or les revenus d’un club ne limitent pas à çà, et outre la folie du marché des transferts, mais nous y reviendrons, ils se composent aussi du sponsoring et des droits de télévision. Et c’est bien là que le problème commence.

Une gestion sérieuse devrait s’appuyer sur un budget dont les ressources seraient certes diversifiées, mais seraient composés, à parts égales, de trois tiers. Un triangle vertueux billetterie/sponsoring/droits TV, or les revenus du football professionnel en France sont de 50 millions d’euros de billetterie, 150 millions de sponsoring et de … 250 millions d’euros de droit de retransmission. On ne peut pas se passer de 250 millions sur 450 millions global, la charge est trop forte et ne peut être supportée. Les chiffres sont français, mais les proportions dans les autres pays se ressemblent. Quant au championnats anglais, je n’ose à peine y penser tant les droits TV sont fous.

La hausse des ressources entraîne alors une hausse des revenus de joueur, mais induit aussi une course à l’échalote, ou plutôt une course aux gros transferts. On peut alors s’acheter les meilleurs joueurs, ou plus sérieusement, on peut racheter un contrat en cours. Le rachat est en fait une indemnité de rupture de contrat. Avec des gros revenus on peut payer une « close de rachat » ! Une valeur hypothétique devant assurer le club d’un transfert lucratif.

Nous entrons alors dans une économie qui ne crée pas réellement de richesse. Nous entrons alors dans la spéculation. Nous entrons dans le « training ».

C’est alors un quatrième facteur économique qui a été intégré dans l'économie réelle du football professionnel.

Deux modèles se présentent. Le premier, c’est l'investissement dans la formation de jeunes joueurs, le développement des centres de formation et revente de joueurs ayant fait leurs preuves et développé leur notoriété dans l’équipe première. Le second, c’est justement de détecter des jeunes stars montantes issues de centre de formation, donc à un prix raisonnable, pour les revendre, une fois star devenues brillantes.

Ce système de « trading » est aussi instable qu’un marché financier.

Les crises financières ont été soutenues par un financement massif d’argent public. Alors sommes-nous près à faire le même effort pour le football ? Les prix deviennent déraisonnables à cause d’une hausse irrationnelle des droits TV. La bulle grossit dangereusement. Que ferons-nous quand elle explosera ? Quels seront les clubs qui pourront revendre leurs joueurs payés « un fric fou. »

Il est donc temps de tirer les leçons de ces absurdités, mises en exergue par la crise sanitaire actuelle. Le monde de demain doit être différent afin d’éviter de nouvelles crises. Le monde du football professionnel doit construire sa résilience, sa capacité à faire face à une crise d’ampleur.

Le roseau doit fléchir, mais ne doit pas rompre en temps de tempête.

Les professionnels de la profession auront-ils l’envie, le courage ou la raison ?

 

L’avenir nous le dira.

 

protocole bundes

 

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20 mars 2020

Playoffs 2019 - Paris FC- RC Lens, quel moment !

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   Période de confinement, c'est le moment de se souvenir et de partager des bons moments.

J'ai assisté en fin de saison dernière aux playoffs d'accession de la ligue 2 vers la ligue 1. Ce fut un moment mémorable pour l'accueil footbal du Stade Charlety, avec un jeu allant jusqu'aux tirs aux buts et un combat de supporteurs inédit entre les parisiens et  les terribles Lensois.

 

13 mars 2017

Stade français-Racing - Poisson de mars ?

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La nouvelle est forte, elle est à peine croyable. Tout comme de nombreux supporteurs, commentateurs et amateurs de sport, l'annonce de la fusion du Stade français avec le Racing m'a fait l'effet d'un poisson d'avril arrivé quelques semaines trop tôt.

Le président du Stade Français, désireux de se débarrasser d'un club trop coûteux a enrobé cet cession en fusion de deux clubs historiques dans l'histoire du rugby.

Ces deux présidents qui ont bâti leur réputation rugbistique sur la mémoire de leur club respectif, n'ont pas hésité à renier leurs propos originels. Ils proposent désormais un super club parisien au bénéfice du rugby français. Mais à quel point ces deux businessmen sont-ils encore crédibles, car les affaires sont les affaires ? L'épisode de ce jour, nous prouve qu'aucun milligramme de mécénat et de respect du rugby n'ont motivé ces deux présidents.

Quel est donc l'avenir du club «Racing Français » ou « Stade Français Racing » ou autre nom à définir, car là n'est pas leur priorité ? Il semblerait logique que supporteurs d'un côté plus supporteurs de l'autre donnent deux fois plus de supporteurs. Mais l'addition est-elle possible ? Ceux-ci se rendront-ils un coups à Paris, un coups à la Défense ? Cette opération financière est sportivement bien bancale.

Il me semblait que la force du rugby francilien était cette élite à deux têtes, ces deux clubs titrés, riches d'un passé glorieux et moins glorieux. Un mastodonte en Île-de-France, si mastodonte il y a, généralisera un pillage des clubs voisins, à savoir Massy et Bobigny, mais plus largement les autres petits clubs, sans émulation.

Mais plutôt qu'un mastodonte, la fusion de ces deux clubs, accouchera d'un nouveau club, banal, qui peinera et réussira normalement en top 14, 12 ou 16 ??? Qui luttera pour le maintien ou la qualification en phase finale. Banalement.

Le Racing, a simplement supprimé toute concurrence en Île-de-France.

Et le formidable travail de Max Guazzini à redonner une ferveur au rugby parisien sera désormais annihilé. Et la victoire des racingmen en nœuds pap. aura maintenant sa place éternelle au musée des victoires nostalgiques, au même rang que les titres du 19e siècle. Maintenant, rendez-vous au musée.

Non, je ne crois pas que ce projet soit viable, mais mon esprit de supporteur ne me rend peut-être suffisamment objectif. Qu'il va-t-être difficile de retourner au stade, ou plutôt aux stades.

La franchise de rugby d’Île-de-France, sans nom encore, sans couleur pourrait peut-être prendre exemple sur les franchises américaines et faire du chantage aux villes d'accueil en les menaçant de partir autre part …

Non, j'arrête, ce n'est pas possible.

Impossible ? Business quand tu nous tiens !

 

11 juin 2016

Euro 2016 - 1er épisode

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Çà y est, l’Euro 2016 a commencé. Çà y est, l’équipe de France a débuté son championnat. Elle a gagné, mais difficilement.

 Un 1er match certes difficile, des joueurs tendus devant faire face à l’enjeu. Mais un dénouement ouvrant de façon théâtrale la compétition !

 Rien n’a manqué ! Un but sauvé sur ligne des bleus par Lloris, une ouverture de score sur une passe de Payet à Giroud, ovationné, longtemps décrié, un retour de la Roumanie sur un penalty, discutable à mon sens et enfin la conclusion, la happy-end transformée par l’homme du match, Dimitri Payet d’un tir imparable dans la lucarne roumaine à la 89e minute.

 Scénario idéal pour lancer la compétition, scénario idéal pour faire monter la « ferveur des supporteurs » comme on dit ! Mais attention, dans chaque trilogie, le deuxième épisode est toujours le plus dramatique … Alors, l’Empire contre attaque ou les bleus 2, ils reviennent et ils ne lâchent rien ?

19 octobre 2015

Et qu'est-ce qu'on fait mainenant ?

 

Olympic_pictogram_Rugby_union

Samedi 17 octobre 2015, quart de finale de la Coupe du Monde, fin du match entre la France et la Nouvelle-Zélande, les Blacks ont humilié le XV de France 62-13 ! Le pire résultat en Coupe du Monde, la pire défaite internationale depuis des décennies ! L’équipe de France est au fond du trou et Philippe Saint-André « assume sa part de responsabilité ».

 

Je me souviens il y a quatre ans, à l’issue de la finale, avec les mêmes protagonistes, j’étais remonté face  M. Joubert, l’arbitre ; remonté face à l’attitude de R.Mac Caw. Cette fois-ci, aucune révolte chez les bleus (en rouge samedi, peut-être du sang de l’équipe de France) et par conséquent aucun sentiment d’injustice de ma part, mais juste de la résignation.

 

 Alors, quel constat tirer, quelles solutions trouver ?

 On ne peut en effet que déplorer ces quatre années de disette de l’« ère Saint-André ». Zéro tournoi gagné, encore moins de grand chelem et 40 % de victoires internationales.

 Nous avons été spectateurs de quatre tournois pris à la légère. Ceux-ci avec les test-matchs ayant servi de laboratoire, ont vu tourner 80 joueurs de valeur. On se pose alors la question de l’identité d’une équipe de France qui a vu autant de charnière, autant d’ailiers, autant de trois quarts. 

Alors vient la question cruciale de qui est responsable, qui a perdu ? Si cette équipe de France, sans âme, cette N-ième sélection, n’est qu’une sélection parmi tant d’autre depuis quatre ans, alors 62-13, la faute à qui ?

Aujourd’hui de nombreuses voix se sont déjà élevées contre un système, contre le sélectionneur. D’autres se sont exprimées sur le niveau des joueurs de l’équipe de France et sur le championnat de France. Même l’ancien sélectionneur All-Black, M. Henry a donné son avis « éclairé », peut-être motivé par une vieille rancœur due au départ anticipé de son équipe nationale en 2007, qui lui a sûrement fait vivre une période douloureuse de sélectionneur.

 Selon lui et d’autres, le TOP 14 serait la cause de l’état de l’équipe de France. Peut-être en partie. Cependant, des joueurs d’autres nationalités tiennent leur rang dans leur équipe nationale malgré leur participation au TOP 14. Nombreux furent les reproches à Stwart Lancaster qui n’a pas sélectionné les anglais jouant en France !

 Morgan Parra et Sébastien Tillous-Borde ne sont-ils pas à la hauteur dans leur club lors des phases finales et la coupe d’Europe ? Alors qu’on regrettait l’absence de première ligne en France, Slimani et Ben Harrous sont à la hauteur pendant toute leur saison.

 Certes, le nombre de matchs, les doublons, les phases finales, ne font rien pour aider l’équipe de France. Les joueurs enquillent les matchs, les jeunes ont moins de temps de jeu.

Si on cherche des responsables, il ne faut pas oublier la Fédération et ses dirigeants, qu’ont-ils proposé pour aider l’animation et la composition de l’équipe de France ? M. Camou s’est exprimé cet après-midi et se dit près à mettre des internationaux sous contrat.

 Comme je l’indiquais plus haut, la France ne manque pas d’éléments de valeur, il faudra donc en premier lieu dégager dès maintenant des joueurs devant composer l’équipe de France dans la durée. Ce n’est que dans la stabilité que ceux-ci pourront pratiquer un rugby serein sans l’angoisse de ne pas figurer sur la feuille du prochain match international ! De plus, c’est un élément essentiel pour dégager un style de jeu sur lequel ils pourront se raccrocher en cas de difficulté.

 Aussi, il faut redéfinir les objectifs de l’équipe de France.

 Non, le tournoi des 6 nations ne doit pas être pris par-dessus la jambe, sous prétexte d’avoir comme seul et unique objectif la Coupe du Monde. Le Tournoi, auquel la France termine maintenant quatrième est le rendez-vous annuel du XV de France avec ses supporteurs, ce rendez-vous traditionnel est l’essence du rugby international français. Sur ce point, Philippe Saint-André, mais aussi, le reste des dirigeants de la FFR en se taisant, se sont perdus et ont fait une grave erreur dans ces choix.

 Le style de jeu, minimaliste et, on le sait maintenant inefficace, fait que les prestations de l’équipe de France devient de plus en plus ennuyeuse. Il serait extrêmement regrettable que les supporteurs se détournent maintenant de l’équipe nationale de rugby !

 P. Camou a annoncé la réunion du bureau fédérale. Espérons que de vraies pistes de réflexion en ressortent. Espérons que cette manœuvre ne soit pas une nouvelle manœuvre politicienne, afin de conserver une place bien au chaud …

 

 

17 octobre 2015

Tout ça pour ça !

44 % de victoire depuis 2011, 4 ans de tournoi vendangé (et je l'avais déploré en 2013 http://phasedejeu.canalblog.com/archives/2013/03/18/26682719.html ), et tout ça pour ça !

Toutes les explication de Philippe Saint-André pour justifier les défaites au Tournoi viennent d'être balayé sur la défaite de l'équipe de France dans l'histoire de la Coupe du Monde.

 

Peut-être est-il préférable de repenser les objectifs de l'équipe de france, et de remettre avant la Coupe du monde, le Tournoi des 6 nations au centre des préoccupations du XV français. Peut-être est-il préférable de dégager rapidement une équipe type 35 joueurs, même si elle perd au début afin de créer des automatismes. Peut-être est-il préférable de construire un fond de jeu différent qu'un passage systématique au centre avec très peu de passe.

 

J'espère enfin pouvoir me régaler en supportant les bleus au Stade de France, et ne plus entendre les excuses d'une préparation à la Coupe du Monde pour justifier les défaites dont les supporteurs français sont régulièrements spectateurs.

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Oublions vite cette période, faisons confiance à Guy Noves, qui va devoir supporter une énorme pression, au regard des attentes des supporteurs français qui ne doivent pas s'éloigner de l'équipe de France.

 

 

17 octobre 2015

L'équipe de France est qualifiée ...

En finale de l'Euro de Volley-Ball !

Discrètement, sans bruit, l'équipe de France de Volley fait son chemin vers la dernière jusqu'à la victoire en Europe. Victoire contre la Bulgarie, Pays hôte, 3-2 (18-25, 22-25, 26-24, 25-21, 15-12) !

Demain, je vais pouvoir m'enflammer pour les bleus.

Parcequ'au Pays de Galles ...

4 octobre 2015

Leçon d’humilité !

 

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La Coupe du Monde la plus chère, la plus spectaculaire, la plus grandiose a tenu ses promesses !

Cette Coupe du Monde en Angleterre est entrée dans l’histoire du rugby ; l’équipe nationale d’Angleterre, le XV de la Rose, certes dans la poule de la mort, mais à domicile, dans ce qu’on appelle dans les milieux autorisés « Le temple du rugby », le Stade de Twikhenam, a été éliminée dès les phases de poules. Exit les anglais, pas de ¼ de finale !

 

Tout ce gigantisme, cette prétention, la suffisance régnante pour une équipe devant gagner la Coupe du Monde à la maison ont été effacés en deux matchs face à des équipes sérieuses, des Gallois valeureux, des australiens techniquement supérieurs ayant donné la leçon aux jeunes anglais.

 

Cette dernière leçon fut celle de l’humilité, qualité manquante depuis le début de la compétition chez les joueurs, mais surtout chez les supporteurs. La presse anglaise saura trouver des responsables, mais elle-même, n’a-t-elle rien à se reprocher dans cette ambiance si peu fair-play ?

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20 septembre 2015

Une nouvelle médaille pour la France

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L'équipe de France n'a perdu qu'un match durant cet Euro, mais c'était celui à ne pas perdre ! Nos bleus sortent de ce championnat avec la troisième place et donc avec une médaille de bronze.

La demi est le plus mauvais match à perdre, car malgré tous ces matchs gagnés, les bleus devront se qualifier pour les J.O lors d'un tournoi en juillet prochain.

 

 

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20 septembre 2015

Huget contre Grosso

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Yohann Huget, ailier du XV de France, blessé au genou hier lors du match contre l'Italie sera remplacé par Rémy Grosso. Souhaitons bonne chance à cet ailier et bon courage à Huget.

 

 

 

 

 

20 septembre 2015

Le soleil se lève à Brighton

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Le Japon a su proposer du jeux et de la pugnacité. Ils ont joué jusqu'au bout, ils ont gagné contre l'Afrique du Sud. Moins grande, moins lourde, mais plus concentrée, plus appliquée, plus sérieuse !!!

 

 

 

 

 

19 septembre 2015

What a shame !

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Vendredi 18 septembre, match d’ouverture de la Coupe du monde rugby. Tout est réuni pour une fête du sport, uni dans la fraternité.

 

Cependant, l’organisation britannique a oublié d’ajouter un peu de flegme dans le public de supporteurs anglais.

 

On nous répète à chaque tournoi des six nations, que le public anglais est respectueux de l’adversaire, que les coups de pied se font dans « un silence de cathédrale ».

Hier, les Fidjiens ont effectué leur haka dans un vacarme incroyable, « swing low, sweet chariot » devenu l’hymne de l’irrespect. Quant au brouhaha pendant les pénalités fidjiennes, n’en parlons pas.

 

« Je suis choqué, n’est-il pas ! »

 

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